mardi 17 septembre 2013

Des bébés adultes


Je viens de lire le petit roman de Peter Mayle ”A Year in Provence”. Mon édition est anglaise, mais le roman qui était best-seller en Angleterre au temps de sa parution en 1989, a été traduit en plusieurs langues, aussi en finnois. S’il y a la traduction en français, je ne suis pas sûr. En effet, j’aurais voulu acheter l’édition française mais je ne l’ai pas trouver dans les librairies en ligne.

Dans cette oeuvre Peter Mayle, qui avec sa femme avait décidé d’acheter la maison en Provence, raconte leur vie au sein de la campagne de Lubéron pendant une année depuis janvier jusqu’au nouvel an.

La maison est vieille est nécessite considérable rénovation. Le livre est effectivement un rapport des difficultés que le couple anglais confronte en essayant d'organiser les projets en collaboration avec les professionnels locaux: maçon, plombier, carreleur, poseur de moquette, etc. Les difficultés étaient majoritairement liées à la conception du temps qui pour les Provençaux semble d’être profondement différente de celle des Anglais. Il signifiait une école dure pour les Anglais à s’y adapter.

Des problèmes étaient toujours à attendre quand il était la question sur le commencement et la durée des travaux. Surtout, exclame Peter Mayle, il n’était pas une seule fois possible pour lui de faire les ouvriers préciser la date exacte, sans parler de l’heure, de leur apparition sur le site. Mais il est une personne joviale. Après tout, il aime ces gens. Il semble que pour lui ils sont comme des bébés adultes. Ils sont naturels, toujours de bonne humeur. Il avait appri de traduire leur gestes associées à la spécification du temps. ”Dans trois jour” peut signifier dans trois jour, dans une semaine ou possiblement l’année prochaine dépendant de comment ils balancent la main, haussent les épaules et tournent les commissures des lèvres.

Ces ouvriers, étonnement, quand ils travaillent, font de bon travail. Il était facile pour les gens de la maison, éveillés par leur apparition surprise à sept heure du matin, de leur pardonner quand ils puis travaillaient onze heures avec considérable intensité presque sans cesse.

Bien sûr, le livre est aussi de la gourmandise provençale. Il est presque ennuyant de lire des infinies listes des plats qu’offrent les petits restaurants locaux, que le couple fréquente. Mais évidemment il est impossible d’écrire de livre sur Provence sans cet élément central du peuple qui vie pour son estomac.

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