lundi 21 octobre 2013

Loué soit le räntäsade


Räntä et räntäsade sont traduit en neige fondue. Quand il tombe de cette matière - räntä - pour la première fois en automne en Finlande, ce n’est pas seulement un signe d’un début de la saison de l’obscurité et de la boue, mais pour plusieurs aussi un symbole de la tristesse inévitable. Un assez grand nombre des Finlandais s’enfuissent déjà au début d’octobre pour échapper ce phénomène pour s’en retourner quand la neige permanente soit venu, ou au moins pour le Noël - et s’embêtent entretemps aux centres touristiques du sud. 

La première neige fondue arrivait samedi. Nous avions eu des visiteurs pendant plusieurs jours. C’était la semaine de vacances d’automne de nos petits-enfants. On avait fait un feu de camp et cuit des saucissons la samedi matinée, et après-midi tout le monde allaient au sauna. Par la fenêtre de sauna on apercevait les premiers flocons de la neige fondue et comment leur nombre commençaient rapidement à se multiplier pour emplir l’atmosphère. C’était le moment de sortir pour plonger au baignoir situant à côté de la terrace. L’eau du baignoir était 1,5 degrés. Rien ne peut remplacer cette sensation de bien-être.

Il y a deux ou trois années, mon écrit titré ”Räntäsateen ylistys” (Loué soit la neige fondue) était publié à Hesari. Il était précédé par un long débat sur le plan de l’office de sports de Helsinki de prolonger la saison de la piscine publique en plain air jusqu’à Noël en maintenant la temperature de l’eau par chauffage. Les protestataires s’inquiétaient premièrement des frais de la consommation d’énergie mais on soupçonnait aussi que il n’y aurait pas suffisamment des visiteurs. 

Peut-être les protestataires avait raison. Ce plan ne se réalisait pas. Une des justifications des protestataires était pourtant que ”personne ne veut nager quand il tombe de la neige fondue”. Je savais immédiatement que cet argument ne peut pas être basé sur un expérience personnel mais seulement sur une attitude négative. C’est pourquoi je pensais que c’est ma responsabilité de rectifier un tel argument. 

J’étais bien content alors que Hesari publiait cet écrit. Mon acte n’était pas tellement pour avoir l’effet sur la décision dans cette affaire que pour faire au moins quelqu’un remettre des attitudes en question.

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