mercredi 5 octobre 2016

Germe du ”parent hélicoptère”

Comment utilise l’enfant son portable? Voici un sommaire basé sur des observations personnelles d’un père.

”Pourquoi un enfant n’appelle-t-il jamais son père?”, se demande une mère après le trentième appel de son enfant ce jour-là. Déjà-écouté? Les enfants sont fournis de portable en age de plus en plus jeune pour des secours variés. Et le parent obtient justement ce qu’il a commandé: la facilitation de l’accessibilité abaisse le seuil de demander de l‘aide au niveau insignifiant. Le germe du ”parent hélicoptère”, conscient ou inconscient, réside dans le portable.

L’enfant appelle sa mère le plus souvent dans les cas suivants: quelque chose est allée de travers, quelque chose allait bien, on se sent mal, il y avait des problèmes à l’école, qu’y a-t-il pour manger, on n’arrive pas à trouver ses vêtements, peu-t-on jouer, est-ce qu’on puisse regarder la télé, y a-til des devoirs, puis-je aller voir des camarades, qu’est ce qu’il sent ici, que vient de télé, le chat a disparu, est-ce que je suis obligé, quel est le temps qu’il fait, la soeur ou le frère embête, tu arrive quand, je m’ennuie, que fairais-je, qui va m’emmener à l’entrainement, puis-je prendre de bisquit, il y a un trou dans la chaussette, au coin se trouve une araignée, et pour rien de spécifique.

L’enfant appelle son père dans deux cas: 1) la mère n’a pas répondu, 2) la mère n’a pas donné la permission. Il n’est pas rare que l’enfant appelle sa mère pour demander où est papa. Autrement dit: sans essayer d’appeler le père même.

Lorsque l’enfant considère sa mère comme le point d’info et thérapie de la vie, la phase sera probablement atteinte où le père commence à s’échauffer. Il y a des limites aussi pour les standardistes! Mais comment est-ce pourquoi les enfants préfèrent appeler la mère à appeler au père? La raison est simple: l’entretien de soins est guaranti et le service est mieux. La mère offre par un seul appel un paquet d’ensemble qui constitue de l’examination préliminaire, les soins, l’empathie, l’analyse des causes, le suivi, et les conseils pour l’avenir.

La force des pères est dans l’improvisation rapide. Dans le cas où l’enfant est tombé et à conséquence a une petite contusion au genou, la mère le calme, donne les premiers soins à distance, prend rendez-vous chez un médecin et va sur le site ou y envoit quelqu’un d’autre. Le père conseille l’enfant de mettre une pièce de papier-cache adhésif sur la blessure. 

Le texte ci-dessus est basé sur les pensées du rédacteur de Hesari, Ari Kinnari, publié il y a quelques jours. Il conclut que pour l’enfant une combinaison de l’aide ”cles en main” et les conseils créatifs soit probablement la solution optimale. Mais pourtant. Cette situation où le rumba de portable s’accumule seulement à l’un des parents, est-elle la faute du père? On doit appeler maman...

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